compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Kalon digor

Imprimer

Kalon digor

Kalon serret

 

Cœur ouvert

Cœur fermé

 

Conscience ouverte

Conscience fermée

 

Esprit ouvert

Ou

Fermé

 

Tel est le dilemme

De la Vie

De nos vies

Qui s’enchaînent

Se succèdent

Se traînent

Les unes à la suite des autres

À la traîne

Et continuent de s’attarder

Sur le Chemin

Bordé d’épines

Bordés de roses

Parfumées

Ou fanées

 

Ne sachant pourquoi

 

Kalon digor

Kalon serret

 

Traînant ton cœur

Enchaîné

Attaché au monde

Attaché au monde d’ici

Sans connaître

La CAUSE

De leur enchaînement

 

Tu ne sais ni pourquoi

Ni que dire

Tu ne veux rien savoir

Et garder en toi

Tes douleurs

 

Kalon digor

Kalon serret

 

Résigné ou fataliste

Te contentant d’être défaitiste

Refusant toutes les raisons

Aveuglé

Ne sachant par où passer

 

Regardant vers le bas

Au lieu de se lever

Et de regarder le soleil

De leur réveil

Qui se glisse par la porte de leur âmes

Entre-ouverte

 

Kalon digor

Kalon serret

 

Tu refuses de regarder au-dehors

D’où vient ce rayon d’or

de peur d’être aveuglé

 

Les peurs

Les peurs qui te gardent enchaîner

Qu’attends-tu pour les briser ?

 

Au lieu de sans cesse te questionner

O chéla

N’est-il pas temps de te demander

Si ton Cœur est ouvert

Ou fermé…

 

Kalon digor

Kalon serret

 

La cause de ton aveuglement

Remonte sans doute

À plein de doutes

À d’autres vies

Que tu as mal vécues

Où tu t’es mal comporté

Où tu as peut-être refusé

La main qu’on te tendait

 

Il va te falloir désormais

Te réconcilier

Avec ta part cachée

Celle que tu ne veux pas montrer

Si tu ne veux pas rester enfermer

Dans tes certitudes

Et tes belles études

 

Kalon digor

Kalon serret

 

La Loi de la Juste Rétribution

Est ainsi faite

Qu’il te faut l’accepter

D’avancer

Ou de rester coller

Au monde des apparences

Sans aucun espoir de délivrance

 

Si tu avances, tu comprendras

Que les causes

Ont toujours leur « pourquoi »

Et que les malheurs

Enfouis dans ton Cœur

Devront un jour partir

Par la porte de tes désirs

De tes errements

 

Kalon digor

Kalon serret

 

Ton Père attend

Patiemment

Que tu viennes à Lui

Que tu lui ouvres

Ton Cœur vaillant

Ton Cœur ouvert tout grand

Tout grand

Au Souffle de la Vie

De la Vie infinie

 

Kalon digor

Ad vitam aeternam

 

...

 

 

Les commentaires sont fermés.